Le Syndicat Libre des Enseignants et Chercheurs de Guinée (SLECG) n’entend pas s’associer à l’appel de boycott des examens nationaux annoncé par le Syndicat National de l’Education au nom de l’intersyndical de l’Éducation.
Le SNE exige dans ses revendications, le respect du statut particulier de l’Enseignant. La structure dirigée par Dame Kadiatou Bah et Aboubacar Soumah veut mettre en avant, les démarches entreprises par les autorités afin de résoudre ce problème.
Joint ce vendredi, 07 mars 2025 par Guineesouverain.com, le président du SLECG a déclaré que le Secrétaire général du SNE, Michel Pépé Balamou a agi en son nom en prenant une telle décision.« Relativement au statut particulier qui est le point nodal, le ministre de l’Enseignement Pré-universitaire et de l’Alphabétisation a mis en place une commission chargée d’élaborer le statut. Les experts qui ont été consultés sont en train de travailler.
Et la grève ne se déclenche pas comme ça, il faut que les voix de soient épuisées. Quand il y a plusieurs syndicats dans une corporation, un seul ne peut pas prendre sa responsabilité d’engager tous les autres », a dénoncé Aboubacar Soumah.
Le SLECG demande au SNE de surseoir à ses menaces, dans le cas contraire, il ne devrait pas compter sur son soutien. « Pour le moment, nous ne nous inscrivons pas dans cette logique de va-t’en guerre. C’est pour cela, le SLECG a fait une déclaration par rapport à cette sortie du SNE. Nous sommes un syndicat responsable », a-t-il rappelé.
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Ce Soumah pense qu’il est toujours au temps D’alpha Condé où tu étais permi. En 2017, il a reçu à chambouler tout le programme de l’année, si cette année il reprend la même chose. Il aura à faire avec des hommes.